Un rapport des préfets au gouvernement vient de porter un jugement préoccupant sur la situation de notre pays et sur son avenir.
Il n'est pas inutile d'en retenir quelques extraits:
"Face à l'accumulation des mauvaises nouvelles, il règne un climat douloureux, un sentiment d'accablement qui empêche de se projeter dans un avenir meilleur. C'est sur ce terreau que prospèrent les ferments d'une éventuelle explosion sociale et le slogan récent des artisans du bâtiment (CAPEB) sonne comme un avertissement: "Attention, un jour ça va péter".
Il n'est pas inutile d'en retenir quelques extraits:
"Face à l'accumulation des mauvaises nouvelles, il règne un climat douloureux, un sentiment d'accablement qui empêche de se projeter dans un avenir meilleur. C'est sur ce terreau que prospèrent les ferments d'une éventuelle explosion sociale et le slogan récent des artisans du bâtiment (CAPEB) sonne comme un avertissement: "Attention, un jour ça va péter".
Et encore: "La fiscalité est devenue le principal moteur de la contestation de l'action gouvernementale."
Et aussi: L'ampleur de la polémique "sur l'affaire Léonarda" est apparue comme complètement déconnectée des préoccupations quotidiennes des citoyens, plus inquiets de la situation économique et sociale, ce qui n'a pas manqué d'aviver leur exaspération."
Ce mélange de mécontentement latent et de résignation s'exprime de façon éruptive à travers une succession d'accès de colère soudains presque spontanés et non au sein de mouvements sociaux structurés".
"Lorsque les uns dénoncent la volatilité et la lourdeur des règles fiscales qui freinent le développement des entreprise, les autres remettent en cause la légitimité de l'impôt".
Et enfin:"Partout sur le territoire, les préfets dressent le même constat d'une société en proie à la crispation, à l'exaspération et à la colère".
"La situation sociale laisse peu de place à l'optimisme".
Qu'ajouter d'autre à ce diagnostic ?
Ce mélange de mécontentement latent et de résignation s'exprime de façon éruptive à travers une succession d'accès de colère soudains presque spontanés et non au sein de mouvements sociaux structurés".
"Lorsque les uns dénoncent la volatilité et la lourdeur des règles fiscales qui freinent le développement des entreprise, les autres remettent en cause la légitimité de l'impôt".
Et enfin:"Partout sur le territoire, les préfets dressent le même constat d'une société en proie à la crispation, à l'exaspération et à la colère".
"La situation sociale laisse peu de place à l'optimisme".
Qu'ajouter d'autre à ce diagnostic ?
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